Paléolithique, Mésolithique et le Néolithique

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-3,3 millions Le Paléolithique, l’âge de pierre.

Christian_Jürgensen_Thomsen

En 1820, le Danois Christian Jürgensen Thomsen (photo), à la suite de Nicolas Mahudel, ordonne les collections de son musée en fonction des principaux matériaux utilisés et popularise une classification dite des « trois âges »3 :
• L’âge de la pierre Paléolithique
• L’âge du bronze Mésolithique
• L’âge du fer. Néolitique
L’âge de la pierre, ou âge de pierre, également écrit âge de la pierre, Âge de la Pierre1, ou âge de la Pierre selon des publications scientifiques récentes, est la période de la Préhistoire durant laquelle les humains ont fabriqué et utilisé des outils et des armes en pierre, avant l’usage prépondérant des métaux. Elle est de loin la plus longue de la Préhistoire, débutant il y a 3,3 millions d’années pour s’achever entre 3000 et 2000 av. J.-C. en Eurasie et en Afrique du Nord. Elle est suivie de l’Âge du bronze, puis de l’Âge du fer. L’expression Âge de la pierre est aujourd’hui désuète et remplacée dans l’usage par ses sous-périodes que sont le Paléolithique, le Mésolithique et le Néolithique.
Les hommes préhistoriques exploitaient divers types de roche, de qualité très variable, en fonction des gisements situés à proximité de leurs habitats : silex, chaille, quartz, quartzite, radiolarite, obsidienne, calcédoine, silcrète, basalte, etc. Au Paléolithique supérieur, les meilleurs matériaux, bruts ou taillés, faisaient l’objet d’échanges sur de grandes distances.

arge de pierre 1

Durant l’âge de la pierre, le bois, l’os, l’ivoire, la corne, et les bois de cerf étaient aussi utilisés, notamment au Paléolithique moyen et supérieur, mais la pierre, et notamment le silex, était le principal matériau travaillé pour créer des outils coupants et des armes.
À cause de sa texture cryptocristalline, à l’origine de sa faculté de se fractionner selon des lois constantes et contrôlables, en formant des arêtes tranchantes (la cassure conchoïdale), de sa dureté et de sa large présence sur la planète, le silex a été particulièrement recherché tout au long de la Préhistoire pour la fabrication d’outils et d’armes. L’obsidienne, roche volcanique, plus rare que le silex, a des vertus proches de celles du silex.

la de pierre 2

À partir du Paléolithique moyen, qui commence en Afrique il y a environ 400 000 ans, les hommes maitrisent la fixation de pointes de pierre sur des hampes en bois, selon différentes techniques d’assemblage. Les pieux de bois ainsi renforcés à leur pointe sont plus efficaces à la chasse que des pieux nus.

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Le Néolithique est aussi parfois appelé l’âge de la pierre polie, bien que celle-ci apparaisse ponctuellement dès le Mésolithique. Le polissage de la pierre, travail long et laborieux, permet d’obtenir des haches et des herminettes aux tranchants réguliers et très résistants. Cette période a laissé de nombreux polissoirs, striés de traces de polissage.
La fin de l’âge de pierre varie selon la région concernée. Bien qu’il soit possible de parler d’un âge de la pierre global pour toute l’humanité, certains groupes n’ont jamais développé de technologies métallurgiques, et restèrent donc dans un âge de la pierre jusqu’à ce qu’ils rencontrent des cultures technologiquement plus développées.

Au Néolithique, les hommes maitrisent dans de nombreuses régions le travail du cuivre, ainsi que de l’or et de l’argent, mais les outils de pierre polie restent alors prépondérants, le cuivre étant un métal trop mou pour pouvoir supplanter la pierre dans l’outillage et dans l’armement. Il faut attendre le développement des alliages de cuivre et d’étain, qui donnent le bronze, un métal plus dur et plus résistant, pour que les outils et armes de pierre cèdent la place aux outils et armes de bronze. L’âge de la pierre s’achève donc avec le début de l’âge du bronze, vers 3000 av. J.-C. en Anatolie, et vers 2000 av. J.-C. en Europe de l’Ouest et en Chine.


-11,000 av. J.-C. Mésolithique, l’âge du Bronze

Collier de Penne

Le Mésolithique (du grec μέσος / mésos, « situé au milieu » et λίθος / líthos, « pierre », littéralement « âge de pierre du milieu »), parfois confondu avec l’épipaléolithique, est la période de la Préhistoire (en) chronologiquement et culturellement intermédiaire entre le Paléolithique qui le précède et le Néolithique qui lui succède. Sous l’influence du réchauffement climatique qui entraîne la diversification des ressources alimentaires et l’intensification des stratégies de leur exploitation, les groupes humains nomades peu denses et relativement mobiles de cette période perpétuent un mode de subsistance fondé sur la chasse, la pêche et la cueillette, sous un climat tempéré proche du climat actuel, tout en commençant à se sédentariser, ou à réduire leurs déplacements saisonniers, avec des décalages chronologiques et géographiques.
Les limites chronologiques du Mésolithique sont variables d’un continent à l’autre et d’une région à l’autre. Le Mésolithique commence au Proche-Orient avec le Natoufien, environ 3 000 ans plus tôt qu’en Europe, où il s’ouvre avec la fin de la dernière période glaciaire, il y a 11 700 ans. Il s’achève avec l’adoption de l’agriculture et de l’élevage comme source alimentaire principale, qui laisse néanmoins à la chasse et à la cueillette un rôle d’appoint alimentaire. En Europe, l’économie mésolithique prend fin vers 6 400 av. J.-C. en Grèce et dans les Balkans, mais dure jusqu’à environ 2 300 av. J.-C. en Europe septentrionale.

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Reconstitution d’une hutte de chasseurs-cueilleurs-pêcheurs mésolithiques en Irlande. Plusieurs types d’observations peuvent étayer cette reconstitution : plancher conservé dans les tourbières, foyer au centre de l’habitat et délimité par des pierres, trous de poteaux avec pierres de calage.
Le terme mésolithique est proposé dès 1873 pour désigner en Europe les derniers chasseurs-cueilleurs. Le préhistorien Jacques de Morgan, reprenant les traditionnelles classifications ternaires issues de l’âge indo-européen, l’impose en 19096 pour désigner la période intermédiaire entre le Paléolithique et le Néolithique dans toutes les régions du monde7. Le développement de la datation par le carbone 14 a mis en évidence les décalages temporels entre les différentes régions : 9 700 à 5 000 av. J.-C. en Europe de l’Ouest, 12 500 à 8 500 av. J.-C. au Levant, 13 000 av. J.-C. au Japon avec la période Jōmon. En Chine, un passage au néolithique est opéré à Yuchanyan (16100-14500 av. J.-C.) et à Miaoyan (17100-15400 av. J.-C., ce qui en fait les plus anciennes poteries au monde)8. Il s’applique également dans le sous-continent indien.

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Le terme mésolithique est proposé dès 1873 pour désigner en Europe les derniers chasseurs-cueilleurs. Le préhistorien Jacques de Morgan, reprenant les traditionnelles classifications ternaires issues de l’âge indo-européen, l’impose en 19096 pour désigner la période intermédiaire entre le Paléolithique et le Néolithique dans toutes les régions du monde7. Le développement de la datation par le carbone 14 a mis en évidence les décalages temporels entre les différentes régions : 9 700 à 5 000 av. J.-C. en Europe de l’Ouest, 12 500 à 8 500 av. J.-C. au Levant, 13 000 av. J.-C. au Japon avec la période Jōmon. En Chine, un passage au néolithique est opéré à Yuchanyan (16100-14500 av. J.-C.) et à Miaoyan (17100-15400 av. J.-C., ce qui en fait les plus anciennes poteries au monde)8. Il s’applique également dans le sous-continent indien.
Le Mésolithique est caractérisé par un certain nombre de changements comportementaux des groupes humains. Si certains de ces changements (réduction des territoires de chasse, développement de l’arc…) paraissent fortement liés aux modifications du milieu dus au réchauffement climatique post-glaciaire (reconquête forestière, disparition des grands herbivores migrateurs des steppes tels que le mammouth et le renne au profit des herbivores forestiers tels le cerf, sanglier, chevreuil ou du petit gibier), d’autres (bouleversements dans les représentations artistiques et symboliques, microlithisation et géométrisation des outils…) semblent liés aux dynamiques internes d’évolution des groupes humains.
En Europe, le Mésolithique commence approximativement avec le début de l’Holocène, vers 9 700 ans av. J.-C., période marquée par le développement de la forêt tempérée. Le réchauffement rapide du climat à la fin du Dryas récent entraine en Europe la disparition des steppes au profit des boisements de reconquête (en France, pins, puis noisetiers au huitième millénaire, et enfin chênaie mixte au septième millénaire).
Au Mésolithique, les populations se fixent sur des territoires limités. Au Proche-Orient et en Chine, elles commencent à cueillir et consommer des céréales sauvages, de plus en plus abondantes avec le réchauffement du climat, en plus des activités de chasse et de pêche. On voit émerger des techniques de chasse innovantes (utilisation de microlithes comme éléments de flèches), de nouvelles pratiques funéraires avec les premières nécropoles, et des conflits sociaux, ou encore la fabrication de pirogues et de nasses de bois tressé pour la pêche.

bronze 2

En Europe, les populations conservent un mode de vie semi-nomade ; cependant l’abondance et la diversité des ressources par rapport à l’âge glaciaire favorisent des déplacements sur des territoires plus restreints selon des rythmes saisonniers. Ainsi, un campement a des chances d’être occupé d’année en année à une saison donnée pour effectuer des opérations plus ou moins spécifiques au site. L’idée de sites « agora », qui auraient accueilli à des moments clés des rassemblements de groupes vivant séparément le reste du temps, partageant néanmoins des frontières et des intérêts communs (échange de matériau par don / contre-don, exogamie, la chasse demandant des effectifs importants pour des battues…), a été avancée par certains chercheurs mais reste difficile à prouver.
Les contacts entre les groupes sont néanmoins avérés par la diffusion de traits culturels (apparition du débitage Montbani, développement des trapèzes au sein du groupe des armatures de flèches…) sur des territoires importants. Les innovations semblent essaimer de proche en proche, avec traduction et ré-interprétation du groupe receveur en fonction de son propre système technique existant, les possibilités mécaniques des matériaux à disposition.

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L’emploi de l’arc et de la flèche, en particulier, se généralise sur le continent européen et en Afrique. La microlithisation des armatures de chasse s’accentue par rapport à la période précédente. Ces petits éléments sont en règle générale réalisés en fracturant des lames essentiellement débitées dans du silex (mais également dans de l’obsidienne, des quartz…). Au début du Mésolithique, les armatures les plus courantes sont les pointes. Le stade moyen (autour de 8 000 av. J.-C.) voit le développement des armatures triangulaires, alors que pour la période récente (6 500 av. J.-C.), ce sont les trapèzes qui dominent les assemblages. L’utilisation de l’ensemble de ces armatures comme les pointes de flèches est probable même si les fûts ont le plus souvent disparu depuis longtemps. Les découvertes de flèches complètes (fût et pointe) sont rarissimes.
La chasse de petits mammifères et la consommation de mollusques (escargots, bigorneaux, patelles, etc.) se développent. En milieu côtier, la récolte de coquillages est assez développée et donne parfois lieu à la formation d’amas coquilliers (accumulation des déchets) sur les lieux qui ont pu servir de lieux de vie et parfois de sépultures. Une analyse plus spécifique des acides aminés du collagène osseux de onze individus de l’un des cimetières mésolithiques les plus anciens et les plus connus de la Méditerranée, à El Collado, Valence, montre des niveaux élevés de consommation de protéines aquatiques. Certains humains de ce site dépendaient fortement des poissons lagunaires locaux et éventuellement des crustacés, plutôt que des espèces marines ouvertes.
Les principaux groupes mésolithiques en Europe, correspondant sans doute plus à des entités techniques qu’à de véritables cultures, sont le Sauveterrien, le Tardenoisien ou le Castelnovien en France, la culture de Limbourg de la Picardie aux Pays-Bas, le Maglemosien, le Kongemosien au Danemark, et la culture de Kunda à l’est de la Baltique.

bronze 5

La fin du Mésolithique est caractérisée par le passage d’une économie de chasse et de cueillette à une économie agro-pastorale, comme l’atteste le développement d’habitats semi sédentaires qui se substituent aux campements temporaires. Au Proche-Orient, ce basculement résulte de la domestication des plantes et des animaux lors du processus de néolithisation. En Europe, l’agriculture se diffuse avec l’expansion des populations néolithiques originaires d’Anatolie. Le Mésolithique s’achève en Europe avec le début de la culture d’Argissa en Thessalie vers 6 400 av. J.-C., et vers 2 300 av. J.-C. en Europe du Nord.
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-9,000 Le Néolithique, l’âge du fer. 

Le Néolithique 1

Le Néolithique (parfois nommé « âge de la pierre polie »), qui succède au Mésolithique, est une période préhistorique marquée par de profondes mutations techniques et sociales, liées à l’adoption par les groupes humains d’un modèle de subsistance fondé sur l’agriculture et l’élevage, et impliquant le plus souvent une sédentarisation. Les principales innovations techniques sont la généralisation de l’outillage en pierre polie, la poterie, le tissage, ainsi que le développement de l’architecture.
Selon les aires géographiques considérées, ces importantes mutations sont relativement rapides et certains auteurs ont pu parler de « révolution néolithique ». La néolithisation est toutefois un phénomène progressif, survenu à des dates différentes selon les régions. Le Néolithique débute au Proche-Orient à l’IXe millénaire av. J.-C. dans le Croissant fertile, et atteint la Grèce vers le VIIe millénaire av. J.-C. Il commence en Chine un peu plus tard, vers 6000 av. J.-C. Le Néolithique prend fin avec l’apparition, puis la diffusion de la métallurgie du bronze, à partir de 3000 av. J.-C. en Anatolie.

Le Néolithique 2

L’adjectif « néolithique » (du grec νέος / néos, « nouveau », et λίθος / líthos, « pierre ») désigne littéralement l’« âge de la pierre nouvelle ». Ce terme est proposé en 1865 par le préhistorien John Lubbock, qui subdivise l’âge de la pierre en un « âge de la pierre ancienne » ou « Paléolithique » et un « âge de la pierre nouvelle » ou « Néolithique ».
Le Néolithique a également été souvent qualifié d’« âge de la pierre polie » (se distinguant du Paléolithique, « âge de la pierre taillée ») puisque, dans de nombreuses régions, il est marqué par la systématisation du polissage de certains outils de pierre. Il convient toutefois de souligner que le polissage est déjà connu au Paléolithique supérieur, même s’il est très rare. Par ailleurs, les outils polis ne sont pas les seuls utilisés au Néolithique et le polissage suit presque toujours une phase de façonnage par percussion, sauf dans le cas du jade en Chine, les blocs étant uniquement travaillés par frottement.
Si la définition initiale est fondée sur une innovation technique, elle cède progressivement la place à une définition socio-économique : au Néolithique, les groupes humains n’exploitent plus exclusivement les ressources naturellement disponibles mais commencent à en produire une partie. La chasse et la cueillette continuent souvent à fournir une part substantielle des ressources alimentaires mais l’agriculture et l’élevage jouent un rôle de plus en plus important. L’agriculture implique le plus souvent l’adoption d’un habitat sédentaire et l’abandon du nomadisme des groupes de chasseurs cueilleurs paléolithiques et mésolithiques.

Ce changement a souvent été présenté comme un affranchissement vis-à-vis des ressources naturelles : les groupes humains contrôleraient ainsi leur approvisionnement alimentaire. De fait, le passage à une économie de production a conduit à une véritable explosion démographique. Les travaux d’ethnologues tels que Marshall Sahlins ont cependant montré le revers de la médaille : une économie basée sur l’agriculture implique souvent un surcroît de travail et les récoltes demeurent dépendantes des aléas climatiques d’où la continuation des pratiques de chasse, pêche et cueillette pour pallier d’éventuels déficits alimentaires liés à de mauvaises récoltes, ainsi que pour diversifier un régime alimentaire trop uniforme. La forte croissance démographique liée à l’adoption de l’agriculture est confirmée par l’étude des squelettes découverts dans les plus anciens sites néolithiques.
Le concept de neolithic package (paquet néolithique) correspond aux innovations techniques, espèces domestiquées (mouton, chèvre, bœuf) et culture matérielle caractéristiques de la période néolithique en Europe et Asie de l’Ouest. Toutefois, ce concept ne peut être appliqué de manière systématique puisqu’il tend à amoindrir les particularités socio-culturelles créées par les interactions entre groupes à l’échelle locale et micro régionale.

Le Néolithique 3

L’expression « révolution néolithique » a été introduite (ou popularisée), en 1925, par l’archéologue australien Vere Gordon Childe. Elle fait référence à un changement, radical et rapide, caractérisé par le passage d’une économie de prédation (chasse, cueillette) à une économie de production (agriculture, élevage).
Cette hypothèse d’un changement rapide, si elle est encore largement discutée par les préhistoriens, s’oppose aujourd’hui à la théorie d’une évolution plus progressive9,10. En effet, l’adoption de l’agriculture ne s’avère pas aussi rapide qu’on pouvait le croire durant la première moitié du xxe siècle. De plus, elle n’est ni synchrone à l’échelle des différents continents, ni universelle. Les premiers agriculteurs exploitaient encore les ressources naturelles et certains groupes ont conservé une économie de chasseur-cueilleur jusqu’à nos jours. Il existe également des exemples de groupes de pasteurs nomades. L’adoption d’une économie de production semble être un phénomène progressif, initié selon certains auteurs dès le début du Mésolithique.
Si la néolithisation est une des étapes majeures de l’aventure humaine, au même titre que la domestication du feu ou la révolution industrielle, le fait de la qualifier de révolution a été critiqué, dans la mesure où l’adoption des innovations qui la caractérisent n’est ni brutale, ni simultanée.

La chronologie du Néolithique est particulièrement délicate à établir puisqu’elle diffère en fonction des régions du monde et en fonction des critères de définition que l’on retient. Plutôt qu’une époque, le Néolithique est considéré par certains auteurs comme un stade culturel défini par un ensemble de traits techniques, économiques et sociaux.
Il existe toutefois un consensus assez large pour reconnaître que le foyer de néolithisation le plus ancien se situe dans le croissant fertile du Proche-Orient, dans le sud-est de l’Anatolie, le nord de la Mésopotamie et le Levant, au plus tôt vers 11000 BP (avant le présent), c’est-à-dire environ 9000 AEC.

Vers le milieu du IXe millénaire, les groupes humains, déjà en partie sédentaires, commencent à y domestiquer les animaux (mouton, chèvre, bovin) et les plantes (blé et orge, suivis de légumineuses comme les pois, les fèves et les lentilles) dans un but alimentaire. Vers 7000 av. J.-C., les premières poteries apparaissent ; elles se généralisent au cours des siècles suivants.
Les nouvelles connaissances et les nouvelles pratiques qui caractérisent le Néolithique du Proche-Orient gagnent progressivement l’Europe à partir de 6500 av. J.-C. ; puis s’étendent au sud de la Méditerranée et vers le sous-continent indien et le sud de l’Asie centrale. Elles suivent différentes voies et différents moyens de propagation ; il s’agit dans un premier temps essentiellement de migrations de populations issues du Croissant fertile.
Variétés péruviennes de maïs.
D’autres régions du monde connaissent un processus de « néolithisation » qui semble indépendant du Proche-Orient, par exemple en Chine, en Nouvelle-Guinée, en Afrique subsaharienne et sur le continent américain.
Les autres foyers de domestication des plantes et des animaux sont notamment :
Chine (riz, millet) vers 6 000 av. J.-C. ;

Le Néolithique 4

Mexique (maïs, cucurbitacées) vers 5 000 à 4 000 av. J.-C. ;
Pérou (maïs, haricot, pomme de terre, camélidés) vers 5 000 à 3 000 av. J.-C. ;
Afrique subsaharienne (mil, sorgho, igname) entre 5 000 av. J.-C. et 2 000 av. J.-C. (selon la céréale et le lieu).
Fin du Néolithique
La définition de la fin du Néolithique est également problématique. La période s’achève en principe avec le début de l’âge du bronze, c’est-à-dire vers 2100 av. J.-C. en Europe occidentale et en Chine. L’âge du cuivre (Chalcolithique) a été un temps considéré comme une période intermédiaire, marquée par l’émergence du travail de certains métaux (cuivre, or, argent), mais il se rattache en fait au Néolithique par de nombreux aspects, notamment son industrie lithique (outils en pierre polie) et osseuse.
En résumé le Paléolithique est le début de l’homme dit Moderne, les premières structures économiques, sociales et culturelles font leur modeste apparition.
Suivie d’une expansion très rapide d’organisation structurelle durant la période du Mésolithique et Néolithique qui leur a permis de cueillir des fruits qui était très restreint à cette époque. Ils cultivaient principalement le maïs et le blé qui était en abondance à l’état sauvages. Début de la domestication des animaux de ferme, telle que la chèvre, les bovins, vache et taureau et les chiens sauvages. Le Mésolithique et le néolithique se sont croisé pendent 2000 ans. Période dite TRANSITOIRE vers des civilisations beaucoup plus évolué tell que LES Mésopotamiens des précurseurs de l’écriture.
Les structure et de la foi religieuse font leur apparition vers la fin de Néolithique, qui dirigeait les tributs évolués par la réflexion et la pensé dominatrice. Ils enterraient leur mort et faisait des sacrifices d’animaux et dans certains pays d’Amérique du sud, des sacrifices humains ! Ses religions polythéisme servait à contrôler les villageois qui ne savait ni lire ou écrire et à peine -1% savait lire et écrire.
Après le néolithique, les religions diverses faisaient leur apparition partout sur la planète. Surtout en chine, Europe et le moyen orient. Et nous savons aussi que les premières guerres de religions commençaient. UNIQUEMENT POUR S’EMPARER DES BIENS ET TÉRRITOIRE et convertir les tributs plus faibles.
Il y a eux aussi des guerres génocidaire tell que les mayas en Amérique du sud vers -2000 ans. Le polythéisme a permis a des humains de contrôlé économiquement, socialement et culturellement des nation entière. La militarisation des religions commence vers -6500 av jc.